Holà, je suis Simon Dautheville. Si cet email vous a gentiment été transféré, vous pouvez vous abonnez ici. J’apprécie que vous me lisiez, mais si vous souhaitez partir, vous pouvez vous désabonner en bas de l’email.
Holà !
Il y a trois ans, j’étais perdu. Aucune idée de quoi faire. Ma voie ? Pas le début d’une piste. Je ne m’étais même jamais demandé ce que je “voulais faire”. Ma vie d’étudiant se suffisait à elle même, et j’avais l’éternité pour trouver mon chemin.
Puis tout a basculé… J’ai compris que je voulais écrire, que je pourrai en tirer mes revenus, que ça me rendrait libre, que je rencontrerai foule de créateurs et créatrices inspirants. Ce fut le plus beau jour de ma vie. Je savais que je voulais vivre de ma passion, voyager partout et acheter un bateau à mes parents. Quelle sérénité !
Sauf que ce jour n’est jamais arrivé. Pas de révélation. Pas de certitude. Pas de chemin tracé. Pas de “je vis de ma passion”. En revanche, une quête personnelle débuta. Je me mis à lire, aider des entrepreneurs et rencontrer des artistes. Je rédigeai mes premiers articles, mais rien ne laissait présager que j’en vivrais un jour.
Comme j’y prenais du plaisir, j’ai continué à écrire, tout en explorant d’autres domaines : persuasion, créativité, économie d’Internet, technologie, startups, modèles mentaux… Ma quête prenait du sens, mais n’avait pas de direction. Jusqu’à ce que je lance StationL, ma première newsletter, en Décembre 2018. Depuis, tout s’est accéléré.
J’écris plus, mieux et plus rapidement. Je progresse semaine après semaine. Mon identité a évolué. J’ai commencé à dire que “j’écris” et que “j’aimerais bien en vivre”; sans avoir aucune confiance ni certitude. Puis 2019 a tout changé. J’intégrai la startup Libeo où j’écrivis tous les jours et choppai mes premiers vrais contrats freelance.
Maintenant que je vis de ma plume, écrire devient ma passion. Je dévore livres, articles et newsletters; réfléchis pendant des lustres pour allier art & entrepreneuriat; et me dédie à ma carrière de créatif. Ma quête a dorénavant une direction : créer le meilleur dont je suis capable, me faire payer cher pour ça, et aider les créatifs à faire de même.
Voici la raison d’être d’Odyssée : partager tout ce que je sais pour vous aider à construire votre vie d’indépendant autour de compétences rares et précieuses. Je suis convaincu que le meilleur moyen de s’offrir la vie de son choix consiste à créer. Mais pourquoi suis-je aussi radical ?
Car jamais les créateurs n’ont pu vendre leurs œuvres aussi facilement qu’aujourd’hui. Mais avant d’en venir là…
Pourquoi le terme “créateur” ?
Au QG de Odyssée, nous (mes 10 dix doigts et moi) considérons qu’un créateur est quelqu’un qui crée quelque chose de beau ou d’utile, que ce soit physique ou digital. Il peut s’agir d’un hacker qui crée des logiciels, d’un peintre, d’un écrivain, d’une designeuse, comédienne, musicienne, d’un plasticien ou podcasteur.
Au cœur de la philosophie du créateur se trouve l’état d’esprit de l’artisan : reproduire les mêmes gestes tous les jours pour créer la meilleur chose dont nous sommes capables. La création est pratique. Il s’agit donc avant tout de créer rapidement une première version, originale, puis de l’améliorer et de l’embellir.
Créer est donc un “vrai travail” à plein temps. Ce job inclut les recherches, la génération d’idées, les brouillons, le partage, les retouches (80% de la création brute) et la publication. Et puis ça recommence.
Cependant, publier ne suffit pas. L’indépendance a un prix : vendre ses créations. On entre alors dans le monde du marketing, de la vente et de l’argent. En somme, dans le domaine entrepreneurial. La vie de créateur consiste donc en un savant mélange d’art et d’entrepreneuriat.
Pourtant, nous croyons beaucoup de choses sur la création.
Nous croyons que les artistes sont des génies, ou ne sont pas. Nous croyons qu’écrire un livre est de l’art, mais que rédiger un essai n’en est pas. Nous croyons que les créateurs sont des privilégiés qui vivent de leur passion. Nous croyons que les créateurs et créatrices mènent une vie solitaire. Nous croyons que le talent, soit on naît avec, soit c’est foutu.
“Nous” sont les croyances qui polluent l’imaginaire collectif. De mon expérience, nombre de créateurs les croient sans les questionner. Pourtant, rien n’est plus libérateur que de créer pour soi, d’assumer sa vulnérabilité et de partager. Créer est un mode de vie, et si vous sentez qu’il vous brûle de vous y jeter, alors :
Faites-vous un service (et faites le aux gens qui aiment votre travail) : acceptez votre légitimité à créer, partager et, surtout, à en tirer vos revenus.
Votre indépendance vous attend de l’autre côté. Entreprendre n’est qu’une conséquence de la création; et créer de belles choses permet d’en vivre - pour peu qu’on le désire et qu’on soit armé. Le créateur est un artiste qui entreprend, ou un entrepreneur qui crée.
Pourquoi entreprendre ?
“L’art n’est pas une activité à mi-temps. Si un artiste est à mi-temps, c’est qu’il n’a pas le choix” - Axel Edelroy, artiste peintre - plasticien
Le terme ‘entrepreneur’ inclut généralement quatre grandes acceptions :
Le patron de grande entreprise, qui est surtout un top manager
Le startupeur, qui a peu de chance de réussir, est dépendant de ses clients mais qui rafle le jackpot s’il réussit
Le petit patron, qui galère beaucoup - sûrement plus que ses employés
Les auto-entrepreneurs dépendants de plateformes - du livreur au freelance qui débute
Leur point commun ? Ils ont très peu de liberté et ne créent pas vraiment. Les obligations les en empêchent. Ils n’ont pas n’ont plus le temps et/ou les moyens de profiter de leurs proches, d’assouvir leur curiosité, de voyager et, surtout, de créer.
Si vous visez le milliard, il vous faudra convaincre un maximum de clients, générer de l’hypercroissance et lever des fonds. Développer un produit pour des millions de clients signifient être soumis à leurs avis; faire ce qui leur plait le plus et obéir à l’impératif d’optimisation.
Au lieu d’avoir un patron, vous en avez des millions. Est-ce que Marc Zuckerberg est libre dans sa vie et sa créativité ? Je vous laisse en juger.
Odyssée promeut une vision viable et durable de l’entrepreneuriat :
Créer du contenu, publier sur internet et développer un business model hybride entre la vente de ses services et produits.
Disclaimer : on ne parle pas nécessairement d’infopreneurs qui créent du contenu pour vendre une formation. Cette “5ème voie”, plus large et plus applicable, s’applique à la vente de bijoux, meubles, retraites méditatives… Les musiciens, vidéastes, auteurs, comédiens & autres créateurs sont les entrepreneurs que Odyssée a vocation à aider.
Votre art et votre voix ont une place sur Internet. Aujourd’hui, vous n’avez pas besoin de diplômes ou d’investissements pour cette aventure car …
C’est votre moment.
Internet est le royaume des autodidactes.
Notre génération se forme solo et crée sans demander la permission. Le marché du travail se recompose. Le freelancing explose et entreprendre ne requiert pas d’investissement. En parallèle, de nouveaux outils permettent aux créateurs d’inventer des modèles économiques sur-mesure.
Par exemple, le processus créatif est devenu un objet artistique en soi. Nombre de personnes sont avides de connaissances et prêtes à payer pour se former. Surtout s’il s’agit d’entrer dans les coulisses de la création. Sans l’avoir voulu, le dessinateur Sol LeWitt incarne ce phénomène : il ne vend pas ses dessins, mais leur conception.
Tout le monde peut dessiner un LeWitt : il suffit d’acquérir la méthodologie, les contours, et à les reproduire sur un mur. Il a scalé la production artistique : dessiner 1000 dessins ne lui demande pas plus d’effort ou d’argent qu’en créer un seul. De l’autre côté, les dessinateurs se forment en accédant à ses secrets.
Les créateurs qui prospèrent sur Internet sont tous auto-formés. L’école ne nous a pas préparé à l’économie actuelle. 85% des emplois de 2030 n’existent pas encore et les étudiants s’endettent pour des jobs que l’IA remplacera. Le contrat tacite du travail salaire - sécurité de l’emploi - ascension sociale est mort, le chômage est la norme et la baisse du pouvoir d’achat une triste réalité.
Les créatifs sont de l’autre côté de la barrière. Ils sont les vainqueurs de l’économie. Ce sont eux qui apportent de la richesse, au contraire des journalistes, politiciens, administratifs… Qui ne créent ni richesse, ni valeur. Les seuls groupes qui s’en tirent à leurs côtés sont les investisseurs et les techniciens robotiques.
Cette dynamique est comparable à l’essor de l’e-commerce. Tout le monde peut créer son shop en quelques clics sur Shopify, sans (gros) investissement de départ. La marque de souliers haut de gamme Jacques & Déméter représente la réussite entrepreneuriale d’une personne seule qui s’est formée à la vente en ligne.
Si vous créez et produisez fréquemment, vous avez une multitude de possibilités pour monétiser votre travail sur Internet :
Sponsoring
Vente de vos services
Vente directe de vos œuvres
Accès aux “secrets de conception”
Communauté payante
Soutien direct
Formations - Cours
Coaching personnalisé
Abonnement mensuel
Liste non exhaustive
Toute la magie consiste à diversifier ses sources de revenus, en plus des moyens plus classiques comme les résidences, les concerts ou un job à côté. De nombreux outils facilitent la relation entre un créateur et son audience, et foule de formations existent pour se former à la vente. Spoiler : les réseaux sociaux sont surcotés.
Vous avez maintenant un aperçu des grandes lignes de la thèse qui sous-tend Odyssée. Cette newsletter est le pilote, donc je serais ravi de lire ce que vous en pensez. Vous pouvez répondre directement à cet email - je réponds à tous mes mails :)
❤️ L’actualité des lecteurs :
Sam a publié la deuxième partie de son article “Why everyone should do an internship in Silicon Valley ?”
Sophie poursuit le crowdfunding de sa pièce de théâtre.
Alexis a sorti un nouvel épisode de Tribu Indé, le podcast pour cartonner en freelance
Valentin a publié un superbe article qui explique comment intégrer n’importe quelle industrie, même la plus concurrentielle.
Mehdi a lancé la newsletter de son projet baby vc.
Paul a récemment publié un mix mi-techno mi-aérien
Dylan a produit un nouveau son ambiant trap extrêmement doux
Robin a récemment lancé sa Revue Stratégique qui est une mine d’or marketing
Alex a levé 20 000$ avec une “Human IPO”… Une manière jamais vu au monde jusque là, et qui va changer le game pour les artistes.
Rachid lance sa newsletter pour aider les musiciens à tirer des revenus de leurs data. D’ailleurs, si vous cherchez un dev fiable et performant, contactez-le.
Vous voulez voir votre travail partagé ici ? Dîtes-le moi en réponse à ce mail
🎶 Douceurs mélodiques :
Passionfruit - Drake : un classique dont je ne me lasse pas
Salto - Lucio Bukowski : du texte, du texte et encore du texte
“Tu parles fort de tes idées noires dans le bus aux heures de pointes, et tout le monde est gêné;
Toi pas du tout donc ils jugent ça bizarre, ce type au beau langage mais à l’oeil éméché;
Ils trouveraient ça formidable dans un Molière ou un clip de Stromae, pour eux ça c’est de l’art”
Dernier Retrait - Vald ft. SCH : belle alégorie d’une carrière réussie
Retrouvez ces sons et pleins d’autres dans la playlist Odyssée
📜 Histoire du quotidien :
Les premières semaines de confinement m’ont apporté un grand calme intérieur. Pas de métro, pas de présentiel au travail, pas d’obligations sociales… Pas de superflu et beaucoup de temps pour penser, m’inspirer et créer. Une période faste où j’ai rédigé ma première copy pour Agora Publishing et mis sur pieds le projet Odyssée.
Puis j’ai choppé le virus. Mon confinement a basculé : de spectateur, je suis devenu acteur. Après tout, si le monde entier y participe, autant rejoindre la fête.
Sauf que j’ai (eu) peur. La peur est insidieuse. Elle vient de partout et s’immisce dans tous les recoins. La peur que ma forme trop vivace à mon goût s’aggrave. La peur de rechuter, de l’attraper de nouveau ou d’avoir des conséquences à vie. La peur de sortir et de le transmettre. La peur des dérives autoritaires et ultra-libérales actuelles.
Je n’étais pas équipé pour affronter l’anxiété. Je ne connaissais pas ce sentiment, donc je madapte. Voici comment je m’y prends pour me calmer - Notez que cette méthode est efficace pour tous types de pensées négatives :
Accepter mes pensées et ne pas cherche à les chasser (ne pensez pas à un éléphant rose, m’voyez ?)
Notifier la nature de la pensée (inquiétude, doute, auto-critique, souvenir, projection…)
Est-ce que cette pensée est familière ? Si non, je n’ai pas à y accorder d’importance / Si oui, pourquoi devrais-je la croire ?
Me concentrer sur les sensations dans mon corps. Est-ce que je ressens des douleurs ? Des tensions ? Une accélération de mon rythme cardiaque ?
Focaliser mon attention sur ma respiration, et uniquement cela.
Comment je me sens quand j’inspire ? Quand j’expire ?
Si la sensation persiste, je peux me représenter cette bouffée comme un orage qui passe dans mon corps et dans mon esprit. Il finira par se terminer.
Continuer à respirer, et visualiser la dissolution des nuages - sans chercher à chasser mes pensées !
Être anxieux arrive. Cela ne signifie pas forcément quelque chose. La seule chose à faire consiste à contempler mes pensées, et à les interroger : pourquoi devrais-je croire les images mentales que m’envoie mon cerveau ? Est-ce que la situation est critique ?
Faire la paix avec mes pensées négatives développe ma confiance de pouvoir les gérer. Je n’ai pas besoin de m’en protéger : je n’ai qu’à les accepter, les contempler, sans croire qu’elles sont vraies ou que je dois agir dessus.
Avec du recul, je remarque que j’ai ressenti de l’anxiété à l’Automne dernier. Je faisais alors un défi 30 articles en 30 jours et publier m’angoissait. J’avais peur qu’on me juge. Peur d’échouer. Peur de ne pas être légitime. Puis j’ai réalisé que 100% des créateurs ont connu ces sentiments. Donc je l’ai accepté, et maintenant je publie avec plaisir.
Je développe actuellement un système pour me faire découvrir, sans pour autant me transformer en pancarte publicitaire. Plus à venir à ce sujet dans les futures semaines.
D’ailleurs, je développe l’habitude de publier en ce moment sur instagram, où je participe à un projet d’auto-documentaire de 30 jours. J’y partage mon quotidien de Copywriter et de rédacteur d’Odyssée en période de confinement. Si ça vous branche, bienvenue :)
⚒️ Outils :
Stress-Free : si vous voulez l’essentiel du Covid sans les commentaires de pseudo experts, cette conversation Telegram publie quotidiennement les news officielles et les unes de presse.
Easy-Peasy : Sheet2site transforme vos excel en site Internet - l’un des outils no-code qui m’impressionne le plus.
Je veux : Bouquin transforme votre site Internet en livre - en démo pour l’instant
Ca profite : Les bons plans du confinement recense les petites pépites gratuites en ce moment, dont des cours gratuits du MoMa.
Calligraphie : WhatFont est une extension chrome pour découvrir toutes les polices de l’Internet.
Ferme les yeux : un site pour organiser un loup garou en ligne
Money Money : le crédit aux indépendant s’appelle Mansa
📰 Ressources & Inspirations :
Independant.io : encore plus que d’habitude, le syndicat des indépendants peut vous aider
To Get Good, Go After The Metagame : il y a les règles, et les règles des règles. Si vous maîtrisez les règles des règles, vous gagnez - peu importe le domaine. Par exemple, la métapolitique actuelle consiste à déterminer qui sera le coupable désigné du Covid (indice : les US et la France attaquent la Chine).
Do things that don’t scale : un passage obligatoire pour tout entrepreneur. L’article se concentre sur le monde des startups, mais les principes fonctionnent pour les créateurs.
De Talent Economy à Passion Economy : un excellent podcast pour s’inspirer avec l’exemple du créateur indépendant Benjamin Perrin
The Feynman Method : une super méthode pour apprendre plus vite - expliquée, exemple à l’appui, par un mec qui terminé les 4 ans du MIT… En un an.
Internet is a Magic World :
Si la LDC vous manque : Ce tweet m’a pris beaucoup trop de temps cette semaine - très curieux de voir votre équipe en réponse de cet email
Mon équipe : Oblak / Lahm - Zanetti - Maldini / Xavi - Gerard - De Bruyne - Juninho - Zidane / Cavani - Roger Milla
Kicékifédubif : une représentation visuelle des musiciens best-seller depuis 1969, où j’ai découvert que Beyoncé fait bien plus de bruit que de ventes.
Frissons garantis : quand un fan chante avec l’artiste sur scène - et le véner un peu car il déchire tout
On rigoule : Pierre Emmanuel Barré tient son Journal de confinement et se réinvente quotidiennement. Chapeau.
Communauté :
La part que je déteste dans la création ?
La solitude forcée. J’aime être seul, mais quand personne autour de soi ne comprend notre démarche, ou ne peut nous aider… La solitude est un obstacle.
A l’inverse, s’entourer de créatifs plus avancés que soi sur certains domaines est l’atout #1 des meilleurs. Chacune et chacun d’entre vous est probablement plus avancé que moi sur un sujet. J’adorerais le savoir !
Surtout que les artistes que l’on admire aujourd’hui n’ont jamais été des loups purement solitaires. Ils faisaient tous partie de réseaux d’artistes.
Van Gogh travaillait avec son frère Théo, très implanté à Paris. Carl Jung, qui a révolutionné la psychanalyse, était membre de mutliples clubs. Kant, en dépit de ne jamais être sorti de sa ville natale de Köenigsberg, accueillait des visiteurs plusieurs fois par semaine.
Chacun était membre d’un groupe de créatifs/artistes/philosophes qui s’encouragent, s’entreaident, se copient et se volent des idées. Un groupe où tout le monde contribue et se tire vers le haut.
Si vous voulez que l’on crée un tel groupe, répondez moi juste “Ananas” et je vous contacterai pour s’organiser entre nous :)
📣 A l’avenir, je publierai cette newsletter le mardi.
Dimanche ne fonctionne pas bien avec mon job. Je suis frustré de ne pas avoir assez de temps pour éditer et faire mes recherches pendant le week-end. La preuve, vous la recevez ce lundi.
Merci beaucoup d’avoir lu ce pilote. Ca compte pour moi. Si cela vous a plu, partagez-le à quelqu’un que ça pourrait aider. C’est le meilleur moyen de soutenir mon travail 🌹
Dans les prochaines éditions j’aspire à ajouter progressivement :
La présentation d’un lieu incroyable où j’ai été/veux aller
Un article/semaine constitutif du livre que je prépare (plus là dessus asap)
Un receuil des meilleurs tweets que j’ai lu cette semaine
Un format audio de textes travaillés
Des résumés de livres / longues conférences en audio et/ou pdf
Premiers livres à venir :
📚 The Willpower Instinct - Kelly Mcgonigal
📚 Show Your Work - Austin Kleon
Si vous voudriez que je vous résume un livre en particulier, dites-le moi :)
A Mardi prochain,
~ Simon